Prune Phi
Marie Maillard s’appuie sur des formes et des motifs existants, elle doute de la perception et questionne la réalité, trouve le jeu entre présence et absence intrigant et recherche des moyens contemporains de produire et de diffuser l’art. Marie Maillard s’intéresse également à l’essence de la matière et aux matériaux du futur, elle anticipe des technologies futures qui permettraient des transformations de la matière en modifiant leur structure moléculaire. De cette façon, le marbre, le bois, la pierre ou le métal pourraient devenir transparents voire liquides et la branche pourrait se transformer en matière inorganique telle que le verre ou l’eau (‘TWIG 1808‘, 2018).