« Kho est un mot pertinent, un verbe puissant. Son chauvinisme profond n’a d’égal que sa subtile connotation internationale », écrit l’artiste. Ce terme a vu le jour grâce aux propres observations de ce dernier, mais il échappe toutefois perpétuellement aux limites d’une expérience individuelle. Le corpus de croquis transcrit la lente chorégraphie de la vie urbaine d’Alger : ses contradictions sémiotiques issues de l’appropriation culturelle cosmopolite, son existence entre graphème et écho sonique.